Fleurs d'été #29-2007

Petits bonheurs et jolis souvenirs,

les photos que je partage avec vous ~ 2007 - Fleurs du jardin :

♥  ♥  ♥ 

C'est avec ces fleurs de saison (Verveine des jardins, Rose et Gazania),

qui égaient l'extérieur de ma maisonnette,
... que je vous laisse, le temps d'une pause estivale
(rendez-vous le 23 août prochain). 

*  *  *

Je profite également de cet article pour vous souhaiter un :

* Bel Été à tous *

De tout cœur, Alféea.

Coquillages et Cie

Pour moi, jouer avec les vagues, admirer les bateaux et ramasser les coquillages sont d'autant de plaisirs simples associés à la mer, à l'été et aux vacances.
Alors, je les ai immortalisé sur ma toile en créant un modèle naïf au point de croix :

Afin de donner plus d’éclats à mon ouvrage, j'ai positionné un bouton bleu en forme de poisson à la place d'un motif et placer de véritables mini coquillages sur ma toile:

Et si le cœur vous en dit, je vous offre la grille : "Coquillages et Cie".

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ÉTHIQUE & DROIT D'AUTEUR :

Des grilles offertes... mais PAS LIBRES DE DROITS !

Toutes les grilles de broderie que je vous offre sont des créations personnelles dont je conserve les droits d'auteur.
Ainsi, merci de respecter mon travail :
©    en les utilisant exclusivement dans un cadre privé et non lucratif,
©    en ne les distribuant pas autour de vous
©    en ne les affichant pas en téléchargement sur d'autres sites/blogs,

... en donnant plutôt un lien vers mon blog.

La cigale #28-2007

Hier, la chaleur était au rendez-vous alors le chant des cigales s'est fait entendre. 
... Maintenant c'est vraiment l'été chez moi, dans ce chant, en Provence.

Pour la petite histoire, ce poème m'a été envoyé
-il y a plusieurs années- par une de mes jeunes nièces qui l'appréciait
 et qui voulait le partager avec moi.
(cf. : "Un pinson sur une branche")

*  *  *

L'air est si chaud que la cigale,
La pauvre cigale frugale
Qui se régale de chansons
Ne fait plus entendre les sons
De sa chansonnette inégale.

Et, rêvant qu'elle agite encore
Ses petits tambourins de fée,
Où pleure une résine d'or,
Ivre de soleil, elle dort.
*  *  *
Paul Arène